Alexey Sklyarenko> In vain I hoped
that VN's play The Waltz Invention had something to do with Byron's poem. But
his hock redeemed my disappointment...According to some commentators,
"Calembourg" mentioned in VN's play by Waltz is London*. Yet, the poet Turvalski
(whose poem is recited by one of the generals) seems to be in no way related to
the Countess of Waltzaway (a distant relation of Horace Hornem's spouse). Horace
Hornem, the fictitious author of The Waltz, was invented by Byron.
Jansy Mello: The French for a special kind of word-play
is "calembour" so, London/ "Calembourg," might be an
involuted pun itself (by deffinition, puns are founded on the
different meaning of words that are pronounced in the same fashion, that is,
they rely on the word's homonymy).*.Nabokov enjoyed multilingual puns. Turvalsky
and Waltzaway, for example, may be related. In Pale
Fire, Beauchamp and Campbell.
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- Le calembour est un jeu de mots fondé sur la différence de sens de mots qui se
prononcent de la même façon (ou d'une façon approchante), c'est à dire fondé sur
l'homonymie des mots.
C'est à mon avis la crème des jeux de mots...Vous
l'aurez compris, si ce calembour était très bon sur le moment, il perd beaucoup
de son caractère comique lorsqu'il est raconté. Il faut vivre le moment. Il n'y
a d'ailleurs rien d'étonnant à cela :chacun sait que l'humour est
indéfinissable, et que la moindre histoire drôle, lorsqu'elle est expliquée,
disséquée ou analysée perd de sa qualité cocasse...On peut relever quatre façons
de créer un calembour exact (le plus souvent, le calembour est obtenu de façon
approchée, c'est à dire en utilisant des mots qui se ressemblent phonétiquement,
mais qui ne sont pas homophones)www.mots-de-tete.com/.../jeuxsensetsons.php3 -
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Le calembour est un jeu de mots qui consiste à employer un mot
dont la forme peut évoquer deux sens. L’effet comique qu’il provoque
généralement résulte de la double interprétation que l’on peut donner à
l’énoncé. Souvent, le calembour exploite l’homophonie, c’est-à-dire le fait que
deux mots soient identiques à l’oral mais différents à l’écrit. Le
calembour consiste alors à écrire la forme qui ne convient pas dans le
contexte.
Exemples : - Tous les matins, je me lève de bonheur. (Jacques
Prévert) (plutôt que de bonne heure)
- Entre deux mots, il faut choisir le
moindre. (Paul Valéry) (plutôt que entre deux maux) Parfois, le calembour est
possible grâce à la polysémie d’un mot, c’est-à-dire à ses différents
sens.
Exemples :- Le garçon de café : — C’est pour qui la bière ? ... Le
client : — C’est pour la mort ! (Le mot bière signifie aussi « cercueil
».)
Le calembour est également possible par l’emploi d’un paronyme,
c’est-à-dire d’un mot ayant une prononciation voisine mais un sens
différent.
Exemples :- Bière qui coule n’amasse pas mousse. (Victor Hugo); Le
progrès : trop robot pour être vrai. (Jacques Prévert)
Enfin, certains
calembouristes (les faiseurs de calembours) s’amusent à créer eux-mêmes des
mots. Ils ajoutent, remplacent ou suppriment un son dans un mot afin d’en
évoquer un autre. On a alors affaire à une sorte de mot hybride.
Exemple :-
C’est vraiment la francacophonie. (Marc Favreau)
Pour en savoir davantage sur
la paronymie et l’homophonie, vous pouvez consulter les articles- Qu'est-ce
qu'un paronyme? et - Qu'est-ce qu'un homophone lexical?.66.46.185.79/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3153